Les skieurs et skieuses français(es)

Vous avez très probablement entendu parler de cette Ecole de Ski Français, qui truste les premières pages des résultats de notre cher moteur de recherche (Google) sur les moindres requêtes liées au ski, à la montagne, etc., et vous vous êtes peut-être demandé, sans prendre la peine d'aller vérifier, qui il pouvait bien être ? Et bien figuez vous que je me suis posé la question aussi, et que j'ai été vérifié !

L'Ecole de Ski Français a été fondée pour la première fois en 1937. Au départ informelle, c'est-à-dire non concertée à un niveau national mais créée à un niveau local, pour accompagner le développement de ce sport, elle s'est progressivement répandue sur le territoire, sous la forme d'écoles de skis, et a proposé d'encadrer la pratique du ski. Elle a connu une grande expansion avec le développement, durant les trente glorieuses (notamment à partir des annes 1960), du ski de tourisme, c'est-à-dire de l'augmentation du tourisme à la montagne et de la pratique du ski.

Aujourd'hui, l'ESF regroupe 260 écoles de ski sur tout le territoire, qui forment les élèves au ski en leur délivrant des certifications de niveaux, notamment les plus connues, les fameuses étoiles, qui sont au nombre de 5. La formation, contrairement aux idées répandues, ne concernent pas du tout que les enfants. Les adultes aussi se mettent au ski via les formations qui sont dispensées dans les grandes ou petites stations par les écoles de ski.

A noter que l'ESF, de source sûre, et par le nombre d'adhérent comme par le nombre d'écoles, est considérée comme la plus grande du monde. De quoi être fier de notre ski national !

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Vous avez tous joué un jour ou un autre à un jeu vidéo simulant un sport (football, tennis, rugby, cyclisme etc.) et peut-être, avec un peu de chance, à un jeu vidéo simulant la pratique du ski ou du snowboard. Avec la popularisation du ski en tant que sport de loisir, comme de sport professionnel, les jeux vidéos ont fleuri sur toutes les plateformes et permettent des expériences de jeu très diverses. Beaucoup espèrent qu'avec l'arrivée de la réalité virtuelle, on pourra enfiler des skis et dévaler des pentes depuis son salon, sans débourser un centime (sauf le coût de l'équipement qui rappelons-le, sera certainement exhorbitant), et surtout en évitant les mauvaises chutes.

Mais sera-ce vraiment la même expérience ? Je pense que non, et c'est ce que je vais essayer de montrer dans ce billet.

Même si les jeux vidéos ne se proposent jamais de simuler parfaitement la pratique de telle ou telle activité, comme un sport, et donc comme le ski, il est communémet admis que plus ils se rapprochent de la réalité, plus l'effet produit sur le joueur est grand et donc plus le jeu obtiendra de succès (en matière commerciale et en chiffres de vente s'entend). Ainsi, certains jeux très connus comme la série des SSX se sont répandus comme une bouchée de pain parmi les amateurs de glisse et parmi les autres.

Mais dans le vrai, ski, le véritable, il y a des dimensions qu'on ne pourra jamais retrouver dans son salon, même avec toute la technologie dont ce monde en 2016 est capable. Pourquoi ? Selon moi, parce que toute expérience dans la vie est un cocktail complexe médié par nos sens qui produit sur notre âme une impression indéchiffrable et non moins complète, inimittable parce que trop unique et trop complexe. On aurait beau détailler l'impression que produit sur nous une odeur ou une vue d'un paysage, on ne pourrait reproduire la réelle sensation de liberté qui nous prend lorsqu'on sait, lorsqu'on réalise qu'on est situé devant une gigantesque étendue de neige immaculée, et des montagnes millénaires présentes bien avant la présence de l'homme sur cette Terre.

Voilà pour ce passage philosophique... Mais ça tombe bien, c'était le bac de philo la semaine dernière !

Bon, dans cet article au titre très évocateur, nous allons aborder un thème assez polémique, celui du hors-piste. Pour certains, le hors-piste est une discipline à part du ski permettant de s'extraire de la logique touristique et préconçue des pistes bien tracées (et des remontées mécanique aussi). Pour d'autres, c'est une pratique dangereuse, pour le skieur ou pour l'écosystème qu'il foule de ses skis en bois. Revenons sur la réalité d'une pratique qui fait débat.

Le caractère libre et excitant du hors-pite, personne n'a à l'expliquer, il est évident : on part des sentiers battus, on explore de nouveaux territoires, on accède à des portions de montagne inaccessibles ou inconnues du grand public, on s'éloigne des touristes et de la logique commerciale... Surtout, on trouve des sensations dans l'inconnu que l'on ne trouve pas même dans les parties "difficiles" des pistes grand public, comme les pistes noires. Mais c'est dangereux également. Car lorsqu'on s'éloigne des pistes bien tracées, on s'éloigne aussi de la civilisation, si vous permettez l'expression, et en en quittant ses désavantages on s'expose aussi à laisser derrière tout ce qui fait son charme : être sauvé en cas de problème, d'accident, rencontrer du monde et discuter, avec de nombreuses personnes venant de tous horizons.

Aussi, le hors piste comporte un risque car il provoque parfois des avalanches. Lorsqu'on s'éloigne des pistes grands publics, celles bien délimitées et autorisées, on risque d'entrer sur des territoires dangereux où l'avalance arrive plus vite qu'on ne le pense. Et ce peut être catastrophique pour l'environnement et pour les skieurs. Il est malheureusement trop fréquent d'entendre à la radio ou dans les journaux locaux l'histoire d'accidents de ce type.

Et vous, qu'est-ce que vous en pensez ? Devrait-on interdire le hors piste ?

Voilà voilà, cela faisait un petit moment que je n'étais pas venu publier malgré mes promesses, mais me revoilà ! Et quelle actualité sportive ! Si l'on a plus entendu parler de tennis, de boxe (RIP grand champion) et de football ces derniers temps (et c'est normal vu la saison), je suis revenu vous parler de ski, et des dernières nouvelles concernant nos champions tricolores ! Comme vous le savez, il n'y a pas de saison pour les skieurs français, et pas non plus pour ceux qui sont passionnés comme moi !

Comme vous le savez, les Jeux Olympiques d'Hiver de la Jeunesse auront lieu en 2020, et les news nous rapportent récemment qu'ils auront lieu pour partie en France, dans la commune de Prémanon, dans le Jura. Plutôt agréable, non ?

Aux dernières nouvelles, les disciplines concernées devraient être la descente, le Super-G et les épreuves de saut à ski.

Pour rappel, les Jeux Olympiques d'hiver de la Jeunesse ont lieu, comme pour les Jeux Olympiques d'Hiver normaux, lieu tous les quatre ans, et procurent au monde du ski de la jeunesse une réelle bouffée d'air frais. En 2020, ils seront organisés par la Suisse, précisément à Lausanne.

Voilà pour cet article très factuel certes, mais important pour le monde du ski, qui plus est français !

Bonjour, voici mon premier post sur ce blog, alors j'espère qu'il va vous plaire. Au pire c'est pas grave j'écris pour moi mais bon c'est toujours intéressant de se faire quelques amis en ligne ;-)

J'aime le ski, c'est quelque chose que j'adore, quand je dis ski je parle en fait de tout ce qui touche à l'univers de la montagne, c'est-à-dire les grandes étendues de paysage (la nature), les animaux divers qu'on ne voit qu'en altitude (la faune), les différentes activités (le sport, etc.) et les gens. Mais ce blog part d'une démarche très précise : parler des skieurs et des skieuses only (je blague je parle pas anglais).

En France, on a la chance d'avoir de belles étoiles, mais reconnaissons-le nous ne sommes pas les champions du monde. Mais en même temps, on ne peut être champion de tout, et puis il faut bien avouer que quand on en tient un on ne le lâche plus !

Donc voilà, je vais parler des moments qui ont fondé la légende de skieurs et skieuses français(es), mais c'est surtout pour évoquer ce que je pense d'eux, c'est-à-dire qu'est-ce qui fait d'eux de bons skieurs mais aussi leurs traits de caractère et cetera. Ca compte aussi n'est-ce pas ?

Bon, et si vous voulez aller consulter un autre blog qui parle de skieurs français, je vous ai mis le lien.